☕️ Vendredi Caféllisthénie #7
→ Écouter son corps, c'est aussi une forme d'entraînement, un muscle à développer.
La venue de ma fille m'a fait découvrir une approche à laquelle j'adhère complètement désormais.
Je veux te la partager parce que si toi aussi tu cherches à réaliser des entraînements plus courts, mais tout aussi efficaces, ça risque de t'intéresser...
En fait, ces dernières semaines m'ont rappelé à quel point l'exercice est essentiel pour mon bien-être mental.
Oui, c'est une chose qu'on peut facilement oublier quand le quotidien devient trop chargé.
La vérité, c'est que le mouvement, c’est vraiment un remède miracle.
Dans mon cas, du moins.
Il suffit de bouger un peu pour se sentir plus concentré, moins stressé, et beaucoup plus heureux.
Pas besoin de grandes théories scientifiques pour le prouver, tu l'as remarqué toi aussi sûrement.
C’est un effet qu’on ressent dès qu’on prend l’habitude de bouger régulièrement.
Même quand la vie devient chaotique, c’est comme si l’activité physique nous offrait une ancre, un point de stabilité.
Un repos. Un arrêt dans le temps.
Malgré le rythme effréné des dernières semaines, j’ai réussi à faire toutes les séances que j'avais au programme – parce que je savais le bien que ça me ferait.
Et, à ma plus grande surprise, je progresse vraiment bien... Même plus qu'avant d'avoir un enfant!
Quelques mois avant l'arrivée de ma fille Rose, j'avais déjà changé mon approche pour utiliser une méthode qu'on appelle Low-Volume High-Intensity.
Cette méthode nécessitant moins de temps d'entraînement, je l'aie adoptée quand j'ai su que j'allais être père.
Voilà rapidement à quoi ressemble ce que je fais :
- Séances principales : 2 séances haut du corps + 1 séance bas du corps par semaine.
- Peu de séries et d'exercices donc séances assez courtes.
- Une intensité très élevée pour la plupart des exercices* donc 3-4 journées de repos entre mes 2 séances haut du corps, ce qui me permet de bien récupérer et progresser à chaque séance.
- 3 petites pratiques pour le front lever et la planche que je place soit avant mes séances principales ou durant d'autres journées (3-4 séries). Pour ces exercices, je tâche de privilégier la technique et je vais très rarement à l'échec (juste quand je veux voir où j'en suis dans ma progression).
→ *Vu que mon volume est moins élevé, je peux me permettre d'aller à l'échec plus souvent et c'est même important d'augmenter l'intensité si notre volume est faible.
Mais malgré tout, même si l'intensité est plus élevée, je continue d'écouter mon corps.
Avec le stress des changements récents, j’aurais pu m’acharner et pousser trop loin, mais j’ai choisi d’adapter l’intensité de mes séances en fonction de mon état du jour.
On oublie souvent qu’écouter son corps, c’est aussi une forme d'entraînement, un muscle à développer.
Certaines journées, mon entraînement était plus doux, moins intense, et j’ai appris à apprécier ces moments et à leur donner autant de valeur que les grosses séances.
Bref, la venue de ma fille m'a fait découvrir une approche à laquelle j'adhère complètement désormais.
Tellement, que j'ai décidé de faire des programmations similaires à plusieurs de mes clients qui eux aussi ont moins de temps à consacrer à leur entraînement, mais veulent continuer à progresser tout autant.
Leurs résultats ont été bluffants!
Quand j'ai constaté que cette méthode fonctionnait non seulement sur moi, mais aussi sur mes clients, j'ai décidé de refaire la programmation de ma plateforme de coaching avec une approche similaire et un tout nouveau système de progression.
Tout sera finalisé avant la prochaine ouverture en novembre!
Sois fort, 💪
Simon
P.-S. – Je prépare justement un formation flash qui abordera, entre autres, la méthode Low-Volume High-Intensity. Elle sera 100% gratuite – je te tiendrai au courant dans les prochaine semaines.
Si tu veux que je te tienne au courant dès que les inscriptions à la plateforme de coaching ouvrent en novembre, rejoins la liste d'attente.