Avez-vous déjà entendu le proverbe : «On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser»?

98% du temps, je (Simon) n'ai aucun problème avec ce concept-là. Je suis de manière générale quelqu'un de très patient.

Sauf... quand la fleur se fait piétiner, écraser en cours de route.

Je parle ici, de la grande histoire entre le chin-up à un bras et moi. (Si vous n'aviez pas compris, dans l'histoire, le chin-up à un bras est la fleur et le piétinement sont les blessures dont je te parlerai sous peu.)

Bon, tout d'abord, sachez que c'est un mouvement qui est sur ma bucket list depuis très longtemps.

Au moment de faire cette vidéo, jai commencé à entraîner le chin-up à un bras il y a deux ans environ. Quelques mois plus tard, j'arrivais vraiment proche de ma première répétition... mais les tendinites du coude que j'allais développer avaient d'autres plans pour moi! Oui, «les», parce que j'ai développé des épicondylites internes à mes deux coudes.

Puis, quand j'ai finalement réglé tout ça et que j'ai pu me remettre à l'entraînement, c'est une compression du nerf ulnaire (syndrome du tunnel cubital) au niveau du coude qui m'a forcé à arrêter.

Vous commencez à comprendre pourquoi j'ai eu envie de tirer sur la fleur de temps en temps?

Comme je l'ai dit, je suis généralement très patient dans mes entraînements. Je suis conscient que les muscles ont une vitesse de développement différente des tendons et autres tissus, mais vous savez, quand tu veux vraiment, mais vraiment, réussir un mouvement... on a parfois tendance à négliger ce que nous dit notre corps.

Croyez-moi : C'est toujours une mauvaise idée.

Comme je suis un chemin assez sinueux avec le chin-up à un bras avec ces blessures (et que je ne suis pas le seul, c'est un mouvement assez 'sournois'), j'ai décidé de répertorier mon parcours.

Je pense que ça pourra vous aider à éviter les erreurs par lesquelles je suis passé.

Bon visionnement!